Actualités de décembre 2015

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Santiago et Valparaiso-O-o

Category : Actualité

Hola que tal?
(Texte tape sur un clqvier Qwerty dont les deux tiers des touches sont effqcees et sans qccent. Fqut il que je vous qime…)

Ici, nous sommes en vacances du velo.

Nous avons quitte la ville de Temuco Dimanche dernier apres une nuit chez Lea, une tres chouette hotesse Warmshowers, une de plus. (WarmShowers=Duchas Calientes). Dans sa micro-maison, nous etions 4 cyclos francais et on a passe une bien bonne soiree tous les 5.

Apres une nuit de bus, nos velos dans la soute et nous dans un siege archi-inclinable, nous avons debarque a Valparaiso, cette ville dont nous avons tous reve un jour, comme le dit un ami. Apres un petit cafe sympa, nous avons enfourche nos montures et avons longe la cote ensoleillee. Puis, au pied de la colline ou etait notre auberge, nous avons defourche… et grimpe dans les rues et ruelles poetiques et vertigineusement colorees . Une journee d’enchantement et de lumiere. Nous avons ensuite laisse les velos en repos pour partir en viree a Santiago. Un peu de culture et de decouverte dans cette ville un peu chaude mais vivante et interessante : marche municipal grouillant de bouffe et de bazar, musee precolombien, colline pour le point de vue, musee des Droits de l’Homme  (Derechos Humanos),places et placettes et meme, au Centro Cultural, le visionnement d’un film de Kurosawa en version originale sous titree en espagnol (on a bien rigole et on a presque tout compris!). Nous avons egalement sillonne le quartier de notre belle hotesse Candy, le barrio Yungay, delicieux.

P1070972Candy qui rit et qui boit, qui aime et qui pense, Candy qui vit. Decidement, les femmes d’ici me plaisent beaucoup.

Encore un  marche fantastique que celui de Santiago. Comme celui de Granville ou des Lices ou de Combourg  ou de Caen ou de Begles … Chacun leur identite mais tous un endroit ou les echanges sont bons. Les marches font partie des grandes reussites humaines, n’est-ce pas.

Bon nombre d’hebergement en ‘dur’ donc ces derniers temps, une pause apres les campings tres divers et tres varies de ce pays, ne ressemblant pas beaucoup aux petits campings municipaux fleuris de la vallee de la Loire par exemple. Un de nos coups de coeur est celui de Conaripe au bord d’un lac. Il y avait bien une pancarte ou le mot CAMPING etait peinturlure. Une, puis deux, puis trois personnes sont venues nous  ouvrir  la barriere faite en palettes et en cageots et nous ont propose de choisir notre emplacement. Nous avons hesite entre le metre carre plein de trous derriere le tas de poutres et le metre carre plein de trous devant le cabanon en ruines. Notre choix fait, nous avons enjambe une brouette et trois enfants crassous qui n’ont pas loupe une miette de notre installation. Un spectacle pour eux : nous etions les premiers campeurs du lieu! Sourires et gentillesse nous ont convaincus que nous serions bien et nous l’avons ete. Le soir, la grande tablee familiale, de la grand-mere au nourrisson, nous a berces de ses rires tonitruants. Le matin, le proprietaire(aux tarifs defiant toute concurrence) nous a apporte un thermos d’eau chaude tandis  que son adorable petite-fille offrait a Yv des cerises pre-machees…

Nous avons quitte Santiago combles de culture et de chaleur humaine. Encore plus combles quand j’ai repere dans le guide un mouvement de militants cyclistes qui s’appelle ‘el movimiento de cyclistos furiosos’  et que de plus, j’ai compris que notre hotesse est une de ces  ‘cyclistes furieuses´. Je leur souhaite de reussir leurs actions pro-velo dans cette ville polluee de Santiago.

Ni chez Lidia, ni chez Lea, ni chez Candy, nous ne sommes arrives en pleine crise de couple comme chez Pablo notre hote de PuertoMontt…c’etait un  peu genant puis finalement assez cocasse. D’un commun accord, nous avons decide de leur parler car il n’etait pas possible de faire comme si de rien n’etait. En sortant de la douche, j’ai pris ma voix de femme mure et leur ai fait un discours sur les choses de la vie, sur les inevitables soucis, sur les difficultes de la vie a deux (je ne detaille pas, vous connaissez tous!), sur  les besoins de se retrouver et que bref, on pouvait aller ailleurs si necessaire. Mon espagnol de ‘mierda’ a du avoir du sens : on est restes chex eux et on a passe une bonne soiree!

Nous sommes sur les traces de Pablo Neruda , poete engage qui me plait beaucoup etdont nous commencons a bien connaitre sa vie : il est ne a Temuco , il a travaille a Santiago et avait une maison a Valparaiso ( un lieu magique…). Il  me vient du coup des envies de poesie et je vous depose ici une petite production sans chichi mais prometteuse je crois:

Voyage

A Chaiten on etait  zen,

A Cucao, il f’sait pas chaud,

A Dalcahue, du bon poulet,

A PuertoMont, bon Dieu que ca monte,

A Valdivia ah ouf c’est plat.

P1070975 P1070985 De retour a Valparaiso pour la soiree de Noel: pisco bien frais en terrasse, puis repas chouette acconpagne d’une papote avec un Argentin et deux Bresiliens et enfin un verre de vin le cul sur une marche a regarder les bateaux sous la lune. ( Avec une petite cigarette ROULEE pour moi,yessssSSSs,on a trouve du tabac ici.

Cette soiree douce et delicieuse nous a permis d’affronter la vague de desaccords assez muscles entre nous du jour de Noel et de continuer a s’emerveiller de cette ville fantastique. Fantastique, joyeuse, romantique, coloree, a visiter un jour…

Billet de bus en poche, nous partons tout a l’heure vers San Pedro de Atacama.

Buen año nuevo.

Besos

Christou

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Temuco Express !

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Samedi dernier, une grosse étape nous attendait de Villarica à Temuco.

Cinquième jour d’une série avec encore un peu de caillou, 90 kms avec une pointe de relief, un bout de 4 voies et toujours à porter, nos sacoches et mes fesses, il fallait se préparer.
Notre préparation digne des plus grands coachs :

  • en fin d’après midi le vendredi, étirements corrects pour une fois.
  • achats du pique-nique, de sucres pour la route et (une idée du patron) de boissons énergisantes, ce qu’on n’achète jamais.
  • le soir, diner avec féculents et bonne hydratation.
  • coucher assez tôt.
  • réveil de bonne heure et paquetage rapide.
  • petit déjeuner très équilibré autour de flocons d’avoine et de fruits secs
  • approvisionnement maximum en eau.
  • pour moi, reconcentration max car je ne fais pas 90 kms comme ça, comme certaines nanas du Val de Loire que je connais.

Nous sommes partis à l’heure prévue pour pouvoir être vers 18h à Temuco.
Quinze kilomètres plus tard, un mec s’arrêtait pour nous proposer de nous emmener avec son pick-up 50 kilomètres plus loin…

On ne savait plus très bien quoi faire de notre jerrican de Power Bull Truc.


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Ca fume !

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Salut à toutes et à tous de l’autre côté de les Océans,

Nous voilà dans la petite ville de Villarica, avec vue sur le fumotant volcan du même nom, coniquement irréprochable. (si, coniquement, ça existe).

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Des étapes variées depuis une bonne douzaine de jours qu’on a retrouvé le continent, dont 2 très très humides, plusieurs parfaites et d’autres ‘normales’. Tout le monde voit assez bien ce que peut être une étape humide; je m’attacherai donc, ci-P1070920après, à développer la notion d’étape parfaite, en insistant peut-être sur l’aspect philosophique alors même que les composantes logistiques, mécaniques, physiques et géographiques font partie du tout. Et ben, les gars, les filles, une étape parfaite, c’est vent dans le dos, du relief cool, des bonnes gens et du pinard à l’arrivée… Les bons jours, on flirte gaiement avec les lacs, les volcans, les petits bleds ‘ bazar à la chilienne’ et beaucoup de visages souvent souriants (toutes ces vies que l’on croise…) Les jours humides, on voit les gouttes tomber de son casque alors même que dans le guide, il est indiqué que l’on peut voir-je cite- le reflet des cimes enneigées se refléter dans l’ azur des lacs sublimes. Ces jours-là, on pique-nique en grelottant, l’autre jour sous un abri en tôle si bas que Yb devait courber l’échine. Les jours normaux, on est justes très contents d’être là.

Lors d’une de ces étapes, on a atteint le point le plus austral de notre virée et de notre vie. Ca m’a plu d’avoir cette pensée.Les matins de certaines étapes, parce qu’on n’a pu laver ou sécher, on renfile des fringues qui sentent le sanglier mort. Mais ça s’ estompe vite dans l’air frais chilien, tagada tsoin tsoin. Et puis c’est détendant de temps en temps d’être bien crado!

Ici comme ailleurs, on peut être ridicule. Voici mes 3 derniers moments fantastiques :

  • les gens d’ici parlent très peu anglais. J’ai donc félicité un Chilien qui parlait terriblement bien. Il m’a remercié et hilare, m’a dit être natif de Vancouver…
  • deux jeunes cyclos français avec qui on taillait une bavasse avaient l’insigne rouge de l’association Aides collé sur le genou. Je leur ai demandé des précisions sur leur action vélo/Aides. Ils m’ont répondu qu’ils n’ étaient aucunement militants. Par contre, ils avaient mis du straps rouge sur leur genou parce qu’ils avaient un début de tendinite…
  • un hôte cycliste avait un chapeau sur la tête genre Charlie Winston. J’ai voulu être agréable et lui faire remarquer son chic. Mais mes neurones ont mélangé les mots zapato et sombréro ( chaussure et chapeau) ce qui a donné: « mm, tu as sur la tête la même chaussure que Charlie Winston… »

Ici comme ailleurs, le ridicule ne tue pas.

Dans plusieurs villages, on a vu des affiches annonçant les prochaines simulations de tremblements de terre ou d’éruptions, afin que la population chilienne soit prête à affronter ces catastrophes. Il va peut-être être temps, en France, que l’on fasse un simulation de présidence française extrémiste non ? Ou mieux : il est temps de trouver des belles solutions politiques, associatives, personnelles pour que jamais, jamais une telle catastrophe ne puisse se produire.

Nos hôtes et hôtesses a Valdivia

Nos hôtes et hôtesses a Valdivia

Nos hôtesses à La Union

Nos hôtesses à La Union

L’autre jour à l’auberge de jeunesse de Valdivia, on nous a donné des oeufs. Cadeau de deux jeunes filles qui reprenaient l’avion de retour pour leur Finlande natale, et qui furent un îlot de blonditude dans cette contrée de superbruns. J’ai emmené les oeufs pour le pique-nique du lendemain sur la plage, qu’on a complétés avec du pain et de la salade. Comme les oeufs n’étaient pas cuits (c’est pas fastoche le finlandais), cela nous a fait un sandwich à la salade. Un peu juste à priori, mais on a achevé de se nourrir en se régalant du duo de dauphins qui passait et repassait devant nous.

Et  ici comme ailleurs, Noël se prépare. Avec les 20 degrés ambiants, le père Noël doit avoir bien chaud avec son gros manteau. Feliz Navidad a todos

Pour finir, un bisou spécial à Alejandro, natif d’ici, qui grandit auprès de ses chouettes parents adoptifs près du Mans.

Christou pour le texte,
Yb pour la mise en page, et la french touch « papier journal » dans ses godasses trempées


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Et le matériel dans tout ça ?

Category : Actualité

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C’est une question qu’on m’avait posée avant de partir…

Combien de sacoches ? Quelles fringues emporter, comment choisir entre le pull tricoté main et la polaire double épaisseur ? Faut-il un pneu de rechange, des rustines, des clés à molette, un cric, que sais-je ? Et les vélos, sont-ils boostés, avez-vous rajouté des vitesses, changé des pièces avant de partir ?

Maintenant que nous sommes à mi-chemin, faisons un point !

P1070611Les vélos sont toujours entiers, un rouge et un noir (bien qu’ils soient souvent gris avec la poussière), et globalement, ils tiennent le choc. Le choc des nids de poule,  des chemins de terre, et de pierre aussi. Impressionnant le nombre de chocs sur les caillasses de Patagonie qui nous ont fait s’imaginer que la roue avant allait plier en deux, ou le pneu éclater joyeusement dans un grand soulagement ! Et pourtant, à ce jour, rien, pas de crevaison, pas de roue changée, pas même un rayon de cassé. Juste quelques voilages bien naturels ; une jante ça respire oui môssieur…

La chambre à air de rechange est toujours sagement au fond de la sacoche cuisine. Merci Pierre-Yves, merci Schwalbe…

La trousse du mécanicien a quand même servi. Principalement pour démonter et remonter les vélos lors des transferts (avion, bus). Une clé anglaise pour les pédales et les roues à écrou, une clé allen pour les guidons. Et hop ! Coté réparation, un collier de serrage (genre pour durite de 504) gentiment offert par la papa de Matias à Bahia Blanca et deux achetés à Chaiten pour soulager mon porte-bagage avant, un bout de fil de fer gainé emprunté à Puerto cardenas pour consolider le porte-bagage arrière dont les soudures alu accusent leur age, un roulement de roue avant resserré du coté d’Aluminé dans une « Gomeria », et quelques coups de clé à rayon pour réaccorder « le chant des roues », comme le dit si bien Claude Marthaler.

P1070716 P1070717Il y a eu aussi un gros check-up à Trevelin, juste avant de passer la frontière Argentine-Chili, comme s’il fallait que nous soyons au top au contrôle de la douane. Nettoyage à fond de la transmission : chaine, pignons, plateaux. Ce n’était pas du luxe, avec la poussière de volcan rencontrée. Les maillons de la chaine ont pris du jeu… Il a fallu aussi resserrer les écrous de fixation du porte-bagage de Christou (monté neuf juste avant le départ) ; z’avaient un peu la bougeote !

Coté sacoches et leur contenu, c’est simple, chaque matin, on doit savoir compter jusqu’à 5, un point c’est tout. Une de guidon, deux à l’avant et deux à l’arrière. Perso, j’en ai une pour la cuisine, une autre pour la tente, une pour l’ordinateur (et les 12.000 chargeurs de batterie), et une de fringues. Christou, elle, a une sacoche « bouffe », une sacoche pharmacie, et deux sacoches de fringues ! Bah normal, c’est une fille, non ? Elle prévoit quand même de renvoyer quelques surplus par la poste prochainement, avec notre défunte tablette amputée de son écran tactile…

Pour voyager encore plus légers…

 


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Brève du Chili

Category : Actualité

Mardi 8 décembre, à Puerto Octay, un délit de vol a eu lieu à l’encontre du ressortissant français Yves Robin.

Celui-ci terminait une étape de vélo très physique du fait du rythme imposé par sa compagne de voyage. L’effort nécessitait que vêtements et chaussures soient aérés. Tout naturellement, il posa ses chaussures sur le petit toit du dortoir et en sortit ses semelles durement touchées. Quelques heures plus tard, la semelle droite avait disparu… Dans un élan d »émouvante solidarité, les personnes sur place ont participé aux recherches. Aucune trace de l’ objet. Mais beaucoup de rapaces moqueurs au dessus de la scène du terrible méfait.

Une allemande eut alors un déclic : elle venait de photographier les oiseaux. Une des photos montre indéniablement l’un d’eux avec un morceau de caoutchouc Décathlon dans le bec.

Yves Robin ne souhaite pas porter plainte et c’est tout à son honneur. Mais au pays des volcans, pas de négociant en semelles, il continuera donc son voyage avec du papier journal hispanophone sous le pied.

Et pendant ce temps, le voleur vole…


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Chiloé Chili

Category : Actualité

Buenas tardes niñas, padres, hermanos, hermanas, tios, tias amigos, amigas, primos, primas vecinos, vecinas, et j’en passe.

Voilà 2 semaines, on prenait une barcasse à Chaïten pour le sud de l’île de Chiloé. On en est ressortis, il y a 3 jours, par le nord avec une autre barcasse.

P1070862On pensait mettre un peu moins de temps mais d’une part, les routes n’y étaient pas faciles et d’autre part, les villages nous invitaient à rester un peu dans leur giron. Ou alors les créatures mythologiques chilotes nous ont lancé un sort de ralentissement. Il y en a beaucoup. La Pincoya est une femme incarnant la fertilité marine et qui danse; la manière dont elle tourne sur le rocher révèle l’absence ou l’abondance de coquillages. Le Trauco est un petit gnome capable de tuer avec sa petite hache, très laid mais très troublant pour les femmes; peut-être que l’on peut en ramener un…Mon préféré est l’Invuche; c’est un ancien humain défiguré par des sorciers qui lui ont tourné la tête à 180 deg, lui ont attaché une jambe dans le dos et cousu un bras sous la peau. Avec une casquette de l’OM en prime, il aurait été optimal. Il se nourrit de chair humaine et boit du lait de chatte.

Ensorcelés ou pas, on a eu du plaisir à découvrir Chonchi, Cucao, Castro, Dalcahué, Achao, Quemchi, Chacao et à imaginer Puñihuil, Tenaun, Colo-Colo, Quetalco, Ichuac… Le Pacifique rugissant, les petites baies tranquilles, les jolies églises en bois, les brumes d’où émergent la Patagonie lointaine et le poisson frais nous ont nourris pour 20151203_101120affronter les cailloux et les côtes. On y a, en plus, rencontré des gens adorables partout. A Castro, on a recroisé nos petits Basques pour la 3ème fois. Ils nous ont indiqué où acheter du saumon fumé à 3€ le kilo, on leur a expliqué où était la petite vendeuse de beignets aux fruits de mer, moustache gracias et échange de bisous. A Achao, des chiliens ont passé la journée dans le fogon du camping (pièce de vie avec un foyer-barbecue central). Le soir, ils nous ont apporté une assiette copieuse, fumante et exquise de viandes grillées, légumes et petite sauce. Il n’ y avait pas de dessert, on a failli réclamer mais bon. A Chonchi, Xiména a partagé sa vision du monde et ses sourires. Elle aime dire qu’elle habite à Chonchi, Chiloé, Chili pour les sons CH. C’est un jeu sympa:

  • sur Chiloé au Chili, sans chichi, t’ es archi-chic.
  • Un Chilien et son chien chinois chinent et dénichent des chips…

A Quemchi, on a bu un pisco bien tassé et on a visité le micro-musée de Fransisco Coloane, auteur que ma maman croqueuse de livres et de découverte m’a remis à l’esprit.

Sorcellerie chilote ou pas, on a cassé notre tablette sur l’île. Comme elle contenait nos cartes, entre autres, nous nous sommes procurés des cartes papier. Plus jolies et plus romantiques que les cartes numériques. Mais, ça va bien, on n’est plus en 2009: on a racheté un mignon petit smartphone quelques jours plus tard. Au prix où est le saumon, on aurait eu tort de se gêner…

Fuerza y alegria para todos.

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Paysages et couleurs

Category : Actualité

Sur la demande insistante de notre chère Adèle, nous vous avons concoctés quelques paysages traversés et des couleurs venues de l’autre hémisphère. Nous ne sommes pas au top de la technologie numérique, l’essentiel est dans nos têtes mais cela donne une idée plus concrète de nos rencontres.

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La galerie paysages

La galerie couleurs